here a small sketch that I have rewrite for the pleasure.
I entitled: Leon Zitrone top of his cloud comments on the marriage of albertII it is a plagiarism of the sketch of Laurent Gerra. it is in French.
One year ago of it I modified a sketch of a French humorist, Laurent Gerra, who imitated one of our famous journalists specialist in the royal marriages. It is a very funny sketch, and I reshaped it in the Monaco sauce.
I am not rather bilingual to translate it correctly it is for it that I would like to leave it in French, maybe that a member of the forum which is perfectly bilingual could translate it. Thank you in advance.
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Mesdames, Messieurs, nous sommes en direct de la place intérieure du palais, afin d’assister au mariage de Charlène Visttock et d’Albert II de Monaco, qui je vous le rappelle en euros fait Albert 0.30.
Et l’absence remarquée des Princesses Caroline et Stéphanie, les princesses qui ont rendu une ultime visite à leur petit et grand frère Albert afin de lui expliquer que ce n’est pas bien de se marier avec le clone de maman. Albert répond du tac o tac à ses sœurs : F*** you, sisters !! Ce qui je vous le traduis veut dire : Sauf le respect que je vous dois ! Mêlez-vous de ce qui vous regarde, sœurs...
Et maintenant, chers téléspectateurs, chères téléspectatrices, nous allons assister au mariage puis à la saillie du prince Albert et de Mlle Charlène Bristtock.
En tête nous pouvons voir Charlène Listtock, en mini jupe blanche, si courte que l'on peut apercevoir la jarretière bleu fluo.
Eh oui la jarretière « princière » ce qui me rappelle une interview qu'Albert nous a faite : «
tout petit, je rêvais de devenir chevalier de l'ordre de la jarretière, alors un jour j'ai acheté une jarretière et je l'ai peinte pour que ma future femme porte un peu de bleu », Heureuse femme.
Charlène porte un décolleté profond devant et derrière qu'on se demande bien : comment il tient.
Elle dépasse d’un bon mètre le Prince Albert, qui je dois l’avouer, se traîne un peu. Charlène est toujours devant, elle court, elle court, la petite Sud-africaine. Elle va remporter la médaille (sa deuxième à priori et celle-là n'est pas en chocolat) et va bientôt atteindre l’autel.
Mais non ! mais non ! Mesdames et Messieurs, il y a un revirement de situation, le suspense est grand.
Mais oui ! mais oui !! les demoiselles d’honneurs ont dépassé le Prince Albert de Monaco. Albert qui se retrouve maintenant, en 7ème position de la course et qui semble avoir de plus en plus de mal à marcher.
Ohhhh mesdames et messieurs, c’est horrible, la première demoiselle d’honneur vient de chuter.
Faute ! Faute ! il y a eu faute !!! Charlène vient de donner un coup de boule à la première demoiselle d’honneur, qui tombe et entraîne toutes les autres dans sa chute. C’est horrible Mesdames et messieurs, c’est horrible !!!
Aaaahhh le visage du Prince est horrible, il se rend soudain compte qu’il va se marier, il ne va pas y échapper, il se retourne, court dans l’autre sens, et toute la salle scande :
Cours, Forest, Cours !!! À ces cris, Charlène se retourne, et s’aperçoit qu’elle arrivera seule à l’autel sur les marches du palais, on peut lire sur son visage :
« Mais ce grand couillon, va m’laisser toute seule ». Alors dans un moment de désespoir, elle tire sur sa traîne fait un nœud coulant et commence à tourbillonner en l’air son lasso improvisé, essayant ainsi de rattraper le Prince Albert.
Les demoiselles d’honneur qui ont eu le temps de se relever, sautent pour attraper ce qu’elles croient le pompon du manège. Enfin le lasso entoure Albert, et de toute la force de ses épaules (totalement guéries : grâce aux remèdes du grand maître Sud-Africain :
Tupaie Tuguéris) Charlène traîne le prince Albert qui s’accroche au tapis rouge parsemé de la fleur préférée de Charlène (pétales de roses jaune devant, marron derrière).
Il quine le Prince, il crie « Maman ». Arrivée de Charlène à l’autel suivi par le pied droit (ça porte bonheur) du Prince Albert 0.30.
On voit maintenant le premier témoin de la mariée qui arrive,
André Snyman, qui attrape Albert et le pose brutalement mais non délicatement à côté de Charlène, la main sur l’épaule il encourage vivement Albert d’une petite secousse.
Les 2 autres témoins de la mariée, s’alignent à côté d’André,
Lars Frölander, Robin Francis, tous sourient en pensant
enfin elle va nous foutre la paix. Le silence s'impose de lui-même, les oiseaux ont stoppé leur gazouillis, les mouches ont arrêté de péter, quant aux invités, ils sont suspendus aux lèvres de l'archevêque Barsi, la bouche grande ouverte, se demande :
ai-je mis ma petite culotte ?L’archevêque Barsi enfin prononce les premiers mots de son discours, mais soudain on voit s’agiter la main de Charlène,
« du vent, du vent »?...
ramène, ramène ?...
Ahhhh mais c'est bien sûr : oui, oui, le message est clair,
plus vite, plus vite, l’archevêque accélère, prend la tangente et arrive enfin à la question fatidique :
Votre altesse sérééééééééénissime, Albert 0.30 voulez-vous épouser Charlène, ici présente ? Le silence règne à nouveau dans tout Monaco, tout le monde retient son souffle, Albert se gratte la tête (
Tiens j'ai plus de cheveux ici? ). Son visage se tourne voir si il y bien quelqu’un qui va l’aider.
D'un côté la famille Tristtock, le père, la mère, les deux fils, mémé et cousins cousines... tous la matraque à la main.
De l'autre côté, un siège vide, deux sièges vides, trois sièges... Mais bon sens où sont passés les Grimaldis, Hanovre et Casiraghi ? Personne... Albert dégluti, il se sent seul, tout seul...
Et soudain, venu de nulle part on entend un tonitruant
OUIIIIIIIIII.Eh oui Mesdames et Messieurs, André Snyman se dévoue et répond : OUI, de sa voix tonnante, les autres témoins enchaînent :
Oh oui please, please… Oh oui !! Ensuite vient le tour de Charlène,
« Charlène voulez-vvvvvv….. »
« OUIIIIIIIIIII ! Je vous déclare mari et femme », répond Charlene.
L’archevêque répond :
« Elle est à moi cette réplique grande bécasse !! »Furieux de ne pas avoir pu faire son discours qu'il avait préparé depuis 33 ans, l'archevêque Barsi annonce, tout en jetant un regard noir vers Charlène :
Vous pouvez embrasser la mariée. Aussitôt dit aussitôt fait, André Snyman s’exécute, suivit de près par Lars et de Robin poussant du coude le marié qui finit par embrasser le sol.
Et nous voyons la jeune mariée redescendre les marches de l'escalier du palais aux bras de ses ex, épanouie de tant... de tant... de tant d'argent.
Albert se relève avec l'aide de son garde du corps préféré qui lui susurre :
« t'inquiète mon bichounet, moi je t'embrasse dans mon cœur, tu sais » puis lentement Albert rejoint la calèche où aura lieu la saillie princière.
Et maintenant chers téléspectateurs, chères téléspectatrices, nous allons assister en direct devant les caméras de TMC, à la grande saillie Princière !!
Grande saillie Princière durant laquelle Mlle Crittstock portera une casaque blanche, porte-jarretelles rose fuchsia qui rappelle, sans nul doute, une rose fuchsia, comme nous l’a si bien dit Charlène quand on lui a posé la question :
« une rose fuchsia a la couleur fuchsia ».
Touffe épilée d’frais, avec son bonnet de bain préféré jaune devant et marron derrière qui va être d’une grande aide pour lui maintenir la couronne sans froisser (et ce n’est pas notre grand ami Jean Claude Brialy qui nous contredira ) ses « Merveilleux » cheveux!!
À son altesse, le Prince Albert 30 cent de Monaco, chef de Monaco, le Prince Albert, string rouge et blanc rappelant vaguement le drapeau monégasque quant à la tache « trace de pneu ».
Et préservatif princier à multi trous assurant que « Popol » respire et garantissant la procréation de l'héritier.
l’archevêque Barsi, chasuble carmin porte-jarretelles mauve relevée, jarretière bleu fluo. Bleu fluo ? Goupillon à la main, arrive en courant comme vous pouvez le voir sur votre écran, afin de donner le départ.
Alors qu'à l’extérieur, les caméras de Benjamin Jamin, nous montre la calèche agitée de soubresauts.
Apparemment Charlène et Albert ont déjà commencé, on peut apercevoir malgré la pluie, une paire de jambes gainées de bas résilles en maille de cote aux couleurs du Zimbabwe largement écartées, avec deux grandes oreilles au milieu.
Les chevaux piaffent et donnent la cadence, et Albert, Albert qui exécute un plongeon incroyable sur l'ex-nageuse (on aura tout vu), avec une Charlène insatiable.
Charlène qui entonne un air :
What’s you pussycat ? What’s you pussycat ? et le Prince Albert qui répond :
« Je bourre le chat !! je veux bien mais il est ou ? !!! » Princesse Charlène s’ouvre comme une rose à la saison des roses.
Le Prince Albert, string rabattu, chaussettes noires, testicules rouges comme son nez, étale une feuille rose afin de lubrifier sa langue princière, la boite à bonbons de Charlène.
Celle-ci exécute un remarquable volte face, ce qui permet au Prince Albert de faire un aller retour sur la toison teinte en rouge et blanc, les choses s’emballent, je crois entendre, qu’elle réclame quelque chose.
Oui j’entends,
« machigau ana, machigau ana » en français,
« ce n’est pas le bon trou », « ce n’est pas le bon trou ». Albert la retourne,
« machinagrrrrrgrrrrrre » et on entend encore la foule scander '
Sixty-nine, sixty-nine, en français un 69, vu que par souci protocolaire, les deux doivent être heureux.
Et c’est un très beau coup de langue sur la grosse veine bleue, fameuse turlutte princière, tradition séculaire, chez les Grimaldi que de se faire récurer le poireau pour faire bouger les oreilles.
Princesse Charlène n’en peut plus, elle clame très fort :
Put in it, Put in it, (mets la moi, mets la moi ou alors elle réclame l'ex-président Russe Putin) mais c’est Albert qui dirige les opérations, après tout c’est lui le chef d’état.
D’ailleurs tout le monde dans l’assistance se recueille à présent, et vous membres du forum… je vous invite à faire de même, c’est en effet le moment tant attendu de la …. Pénétration.
Le Prince vient de retourner la bougresse comme un pancake, il la gratifie d’un majestueux coup dans les deux bronches, rouge comme une pivoine, l’œil lubrique il lui promet
« I take you without… I take you without … “QUOI !!! on voudrait bien le savoir !!!
Princesse Charlène va prendre du rond comme une reine, mais apparemment il y a un problème, ça ne rentre pas. Princesse Charlène est sans doute trop sèche, due sans doute au fait qu’elle a trempé trop souvent dans de l’eau de javel.
Puisqu’elle crie :
« give me the butter, give me the butter », « mais non pas le beurre salé grand con ». L’archevêque Barsi fait barrage aux témoins d’Albert qui se précipitent pour donner le beurre et sans doute participer à la saillie.
Mais c’est sans compter avec André notre rugbyman SA, qui plaque l’archevêque Barsi au sol !!! Passe le beurre à Lars, qui court vers la calèche, André se relève, se précipite derrière Lars, récupère le beurre…
Mais que voit-on, l’archevêque, chasuble relevée, court aussi vite qu’il le peut afin de ne pas en rater une miette.
Il y a essai, et cette action permet à André d’obtenir 5 points à son équipe !!!!
André Snyman se relève, ATTENTION, il va le transformer !!! OUI !!! il va le transformer !!!Barsi crie, il quine (il queen) : non, pas ça, non !!!
BUUUUUUTTTTT !!! Il a marqué, André Snyman vient de faire gagner son équipe, c’est la liesse, non, non pas la fesse, la liesse. Toute la population entonne : Il est des nôtres, il a marqué son buuuuut…
La grand-mère de Charlène vient de se réveiller aux cris de la foule, et hurle à son nouveau petit-fils :
Take me the turkey !! Take me the turkey !! Take me... Son chapeau vient de valser, il est en train de lui défriser le brushing !! la grand-mère quine, la mère grand queen. (jeu de mot français)
Le Prince Albert se relève la truffe humide, il remet d’aplomb sa casaque ainsi que le string de Charlène dans le creux de la raie, le cortège s’ébranle …
Ah téléspectateurs, téléspectatrices, je n’en peux plus, c’est le bonheur, j’ai fait pipi dans mon pantalon !!! Je rends l’antenne à TMC, à vous TMC !!!
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here,
by hoping that you spent a good moment. Thank you
PS : What has of having a good laugh it is that at first I wrote it for the cathedral, and there, the marriage will make somewhere else, that is why those who know the text will see that I transformed the text. Bah that in it is held, small changes do not hurt.
If there are sentences too much...^^ and what it is necessary to censor no concern, I shall understand.